1. |
Paysage
03:32
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Le souffle des choses émane de la Terre
Un secret qui garde ses réponses
Devons-nous absolument percer le mystère
De la quête, du chemin qui nous dompte
Et si on peignait le monde dans un bordel
Il me semble que l’on y verrait mieux
Que le désordre nous emporte, que la pagaille nous réconforte
Car le hasard nous pousse à être heureux
La vie serait tellement plus simple à imaginer
Sans idéal et sans lois
Il suffirait simplement de dessiner
N’importe quoi
Et si on peignait le monde dans un bordel
Il me semble que l’on y verrait mieux
Que le désordre nous emporte, que la pagaille nous réconforte
Car le hasard nous pousse à être heureux
Il m’arrive parfois d’arroser mon bonheur
D’une pluie de larmes de peines et de douleurs
Car il n’y a qu’en mélangeant les couleurs, que peuvent exister
Un paysage où toutes les fleurs peuvent pousser
Un paysage où toutes les fleurs peuvent pousser
Un paysage où toutes les fleurs peuvent pousser
Un paysage où toutes les fleurs peuvent pousser
Un paysage où toutes les fleurs peuvent pousser
(Et si on peignait le monde dans un bordel)
Un paysage où toutes les fleurs peuvent pousser
(Il me semble que l’on y verrait mieux)
Un paysage où toutes les fleurs peuvent pousser
(Et si on peignait le monde dans un bordel)
(Un paysage)
(Un paysage)
(Et si on peignait le monde dans un bordel)
(Un paysage)
(Il me semble que l’on y verrait mieux)
(Un paysage)
(Et si on peignait le monde dans un bordel)
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2. |
Âme de la rive
03:27
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Je suis l’âme de la rive
Et toi ma compagnie
Il m’arrive quand tu dérives
De voir le monde en gris
Nous étions tant frivoles
La liberté à son envole
Mais, il m’a fallu briser
La vague qui nous a emporté
Il faut que tu battes des ailes, même si le soleil n’est plus là
Notre valse sera immortelle, mais la tempête approche à grands pas
Le brouillard, sans savoir, finira bien par passer
Emportant, avec lui, la vague qui nous a blessé
Je regarde la mer
Dans le silence
Où se déchaînent les éclairs
Qui allument mon impuissance
Tes doigts me manquent
Le tableau se décompose
Et pendant que la marée monte
Ma tête, mon cœur, explosent
Il faut que tu battes des ailes, même si le soleil n’est plus là
Notre valse sera immortelle, mais la tempête approche à grands pas
Le brouillard, sans savoir, finira bien par passer
Emportant, avec lui, la vague qui nous a blessé
(Qui nous a laissé)
(Qui nous a laissé)
(Qui nous a laissé)
Les arbres tombent pour construire, les forêts de demain
(Qui nous a laissé)
Et pourtant je ne peux pas saisir que rien n’arrive pour rien
(qui nous a laissé)
Le courant est différent sans toi à mes côtés
(Qui nous a laissé)
Rien n’est plus comme avant, l’aube est froide et trop salée
L’aube est froide et trop salée
Je suis l’âme de la rive
Et toi ma compagnie
Il m’arrive quand tu dérives
De ne plus croire en la vie
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3. |
Aphélie
04:24
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Absurde, ça m’obsède
L’élan dure, mes pas cèdent
Allant vers, loin de toi
Où s’exaspère mon émoi
Mais que faire
Que faire quand tout tourne autour de toi
J’me suis d’un coup, retrouvé à l’aphélie de mes pensées
Là où les utopies se sont désaxées
Suspendu par le coût de la vérité
L’attente sans aucun doute, mon anxiété
Tout bascule dans mon corps j’arrive pas à comprendre
La conscience, les écarts, qui s’épuisent dans les tempes
Pourquoi si, pourquoi ça, j’fais qu’tourner en rond
Tous les jours je m’agace avec la même question
Optimiste et puis triste
Faut que je sorte de ma tête
La malice, qui existe
Qui me trompe de ma quête
Mais mon vice, c’est les fêtes
Où on kiss, l’air de rien
Le désir, qui m’embête
Mais on va jamais, plus loin
Où on kiss, l’air de rien
Le désir, qui m’embête
Mais on va jamais, plus loin
Paradigme des énigmes
Où se cachent mes secrets
On navigue dans l’abîme
En quête d’un souffle de paix
Mais que faire
Que faire quand tout tourne autour de toi
Tout explose endant d’moi, passera une décennie, descente, pas adéquat, laisse le tout Dans le déni
Comme un jeune j’rêves trop grand, tu rêves pas assez
Et j’expose le néant, d’être toujours à côté
J’imagine l’Ophélia qui abuse des silences
Voir si quelqu’un plongera pour réduire sa souffrance
C’est un bout d’impuissance où le fond s’éclaire
Qui augmente la distance, laisse un goût amer
Paroxysme, des passions (dépassion)
Faut qu’j’arrête de chercher
Synopsis des tentions
Qui me font graviter
Le solstice, volatil
S’évapore du destin
Un souvenir qui fût-il
N’ira jamais plus loin
Le solstice, volatil
S’évapore du destin
Un souvenir qui fût-il
N’ira jamais plus loin
Imagine l’Ophélia qui abuse des silences
Voir si quelqu’un plongera pour réduire sa souffrance
Le fond s’éclaire d’un bout de son impuissance
Un goût amère, qui tourmente, augmente la distance
Imagine l’Ophélia qui abuse des silences
Voir si quelqu’un plongera pour réduire sa souffrance
Le fond s’éclaire d’un bout de son impuissance
Un goût amère, qui tourmente, augmente la distance
(Silence)
(Silence)
(Silence, mon esprit a disparu)
(Silence, il cherche les réponses,
(Il cherche les réponses)
(Silence)
(Silence)
Imagine l’Ophélia qui abuse des silences
Voir si quelqu’un plongera pour réduire sa souffrance
Le fond s’éclaire d’un bout de son impuissance
Un goût amère, qui tourmente, augmente la distance
Imagine l’Ophélia qui abuse des silences
Voir si quelqu’un plongera pour réduire sa souffrance
Le fond s’éclaire d’un bout de son impuissance
Un goût amère, qui tourmente, augmente la distance
Car sur ta bouche je lis des mots
Mais on ne parle pas la même langue
Si t’es si douce, mais tout est faux
J’arrête de chercher à comprendre ——
Pourquoi quand les paroles s'affaiblissent.
Puis que nos regards se croisent.
L’évidence, même sans indices
On devine, on entasse les rêves
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4. |
Bon garçon
03:20
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(C’est partie, ça va être sexy)
Je veux me réveiller et t'embrasser
Je veux me coucher et te coller
Je veux partir et ne plus revenir
J'ai envie de toi et c'est comme ça
Ça fait longtemps que je t'attends
Je vais pouvoir enfin prendre le temps
T'amener souper en tête à tête
Ou peu importe tant qu'on fasse la fête
J’vais te faire bouger, j’vais te faire pleurer
Tu vas voir ça sera une super soirée
Tu vas t’en rappeler quand on sera vieux
On peut se soûler, se mettre à gueuler
Ou se décrisser proche du parc Laurier
Ils nous regarderont de travers ils seront en colère
Mais on s’en fout on ira jusqu'au bout
Je veux me réveiller et t'embrasser
Je veux me coucher et te coller
Je veux partir et ne plus revenir
J'ai envie de toi et c'est comme ça
L'écriture c'est pas pour moi
D’la lecture moi je fais pas ça
Mais je t'écrirais des poèmes et je te dirai que je t'aime
Je garderais en mémoire, tout plein de bonnes histories.
J'ai pas besoin de grand-chose juste un peu d'amour
Et je t’assure qu’on en fera vite le tour
Tu pourras plus marcher
Tellement qu’on se sera amusé
Peut-être qu’on fera ça dans l'auto ou p’têtre bien dans ma chambre
Ou peut-être que s’tun peu tôt pi qu'on vas juste attendre
Mais t'inquiète pas ma belle je ferais attention
J'ai peut-être l’air un peu con mais j’tun bon garçon
Je veux me réveiller et t'embrasser
Je veux me coucher et te coller
Je veux partir et ne plus revenir
J'ai envie de toi et c'est comme ça
(C'est comme ça )
(C'est comme ça )
Je veux me réveiller et t'embrasser
Je veux me coucher et te coller
Je veux partir et ne plus revenir
J'ai envie de toi et c'est comme ça
Je veux me réveiller et t'embrasser
Je veux me coucher et te coller
Je veux partir et ne plus revenir
J'ai envie de toi et c'est comme ça wow oh
(OU)
C’est comme ça
Et c’est comme ça wow oh
C’est comme ça Et c’est comme ça wow oh
(Ouu c’est comme ça Et c’est comme ça wow oh )
(Ouu c’est comme ça Et c’est comme ça wow oh )
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5. |
Bleu
03:37
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Le nombre de soirées qu’on a passé à déconner
Sans jamais vraiment se poser la question
Chanter, rapper, parfois un peu enivré
On avait pas vraiment besoin d’une raison
Mais je me suis surpris à croiser ton regard
M’imaginer changer le décor
J’ai comme envie de peindre le ciel en bleu
De partir quelque part juste nous deux
De voir où nos frontières se dessinent
De faire monter l’adrénaline
J’ai comme envie de flatter les nuages
De connaitre par cœur les traits visage
De peut-être découvrir un autre monde
Quitte à ce qu’on se trompe
(Quitte à ce qu’on se trompe)
Pardonne-moi, si je ne dis rien,
Le silence me plonge dans tes yeux
Je perds ma voix car je suis bien
Et que je songe à mes aveux
Pardonne-moi, si mes joues sont rouges
C’est juste qu’en dedans ça bouge
J’ai comme envie de peindre le ciel en bleu
De partir quelque part juste nous deux
De voir où nos frontières se dessinent
De faire monter l’adrénaline
J’ai comme envie de flatter les nuages
De connaître par cœur les trait visage
De peut-être découvrir un autre monde
Quitte à ce qu’on se trompe
(Quitte à ce qu’on se trompe)
Alors vole vole prend la vie
Fais-en donc ce que tu as choisi
Tu t’étonnes d’avoir toi aussi
Le goût d’aimer
Le temps sonne sonne puis ralentit
Écoutons ce que ton cœur te dit
Les battements sont-ils envahis
Du goût d’aimer
J’ai comme envie de peindre le ciel en bleu
J’ai comme envie de peindre le ciel en bleu
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6. |
Étoile
06:02
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Mon corps est une étoile qui s’éteint
Un feu qui dans les voiles ne sert à rien
Attendre l’étincelle dont j’ai besoin
Celle qui patiente en avant
Et qui me brûle par en dedans
Je porte une peur qui trop longtemps
Tamise les couleurs de mon présent
Une crainte, qui désire, trouve le néant
Où les chemins qu’on dessine
Perdent le nord, perdent racine
Je laisse partir un bout de moi
Dans le noir, dans le vide
Et si le vrai existe, amour souviens toi
Que dans la lumière les mots résident
Et même si ces souvenirs me font mal
Me percent puis diffusent
Une peine d’un jour peu loyal
Où des amis m’ont vendu
Le ciel est un mystère que j’comprends pas
Une saison d’à l’envers qui se joue de moi
Mais je ne peux rien y faire si c’est comme ça
Si mon quotidien s'assourdit
Sans échos d’éclaircis
Je laisse partir un bout de moi
Dans le noir, dans le vide
Et si le vrai existe, amour souviens toi
Que dans la lumière les mots résident
Et même si ces souvenirs me font mal
Me percent puis diffusent
Une peine d’un jour peu loyal
Où des amis m’ont vendu
Y a t-il vraiment un prix à l’amour
Une valeur pour laquelle on s’oublie
Y a t-il vraiment un prix à l’amour
Une valeur pour laquelle on trahi
Et même si ça fait mal
Et même si ça fait mal
Dans l’incompréhension totale
J’accumulerais la poussière pour y faire naître une étoile
Et même si ça fait mal
Et même si ça fait mal
Si le vide se manifeste
J’accumulerais la poussière pour y faire naître une étoile
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Joseph Boonen Montreal, Québec
Rêveur, poétique et audacieux, Joseph Boonen tire son inspiration musicale du folklore francophone ainsi que des nouvelles vagues modernes et technos. Amoureux de la nature, Joseph nous offre une musique engagée, riche en sons et en mots, un univers doux et invitant. ... more
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